Simon Decayeux est un jeune streeter de 19 ans sponsorisé par Koxx et les boissons énergisantes Mecadrink, qui vient du Tréport, en Normandie. Ce garçon particulièrement sympathique, qui est un fan de Tribal Zine depuis quelques années déjà, a rejoint le rang des Tribal Riders au mois de mars dernier. On l’a rencontré en chair et en os au mois de septembre à l’occasion d’un show et on peut vous dire qu’il est aussi impressionnant sur le terrain que derrière l’écran. Le streeter pur et dur, qui monte dès qu’il le peut sur son vélo pour travailler sans relâche sa détente, et qui à côté fait aussi une vraie préparation physique : c’est une véritable machine à latéral, qui passe les huit palettes avec une facilité et un style déconcertants, et pour qui les tricks à l’anglaise n’ont pas de secret (Tribal Show sur le Vitalsport 2010).
Simon vient d’adopter le nouveau Sky 2, et il nous livre ses premières impressions enthousiastes sur sur son « avion de chasse »... « Dès les premiers coups de pédales, on sent que le vélo à la pêche, la rigidité, et le renvoi est vraiment impressionnant ! La position demande quelque temps d’adaptation, mais une fois que l’on a trouvé le truc, c’est phénoménal. Ce qui est le plus bluffant comparé au Sky ancienne génération, c’est la précision et la facilité que confère le bike. Bien sûr, on ne monte pas 15 cm en plus dès le premier entrainement, mais les passages sont plus fluides et nets. On à une sensation de légèreté en plus malgré le poids du cadre à la hausse, qui permet d’avoir un vélo qui ne bouge pas au moindre choc ! Bref, pour les amoureux de beau et bon matos, ce bike est je trouve ce qui se fait de mieux. La couleur plaira aux pilotes qui aiment la sobriété et permettra aux pilotes qui le souhaitent de mettre leurs propre déco’. Les rayures se voient très peu, je pense que la couleur permet d’avoir un vélo qui vieillit très bien, malgré tous ce qu’on peut lui mettre ! »
Des photos de son spad...



Et quelques clichés des premiers tours de roues du garçon sur son Sky 2, immortalisés par un photographe qu’il a croisé par hasard ce jour-là sur le bord de mer du Tréport et qui a du talent, Matthieu Nowinski.






